Dépravation Suprême Éloge De La Candeur (07)
DÉPRAVATION SUPRÊME Éloge de la candeur (07)
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle participe à leur débauche débridée qui se termine en orgie. Puis, Sandy et Paul, après avoir dormi chez le couple, Paul linitie à la sodomie.
Un peu plus tard, Paul coïte de nouveau la croupe de Sandy qui répond maintenant avec fougue à son enculeur. Il songe, que cette petite oie blanche, qui était si introvertie il y a seulement deux jours, a vraiment dénormes dispositions. Il se promet, en son for intérieur, de l'initier à d'autres pratiques, encore plus perverses, lorsqu'ils seront de retour à Paris et quil pourra la mettre entre les mains de son épouse, Marie-Ange (voir la série Découvertes). Il est sûr qu'elle aura l'occasion d'acquérir certainement de nouvelles aptitudes pour des partouzes comme seule la ville lumière peut en offrir. Lorsque pour la seconde fois, il se répand à grands jets dans les intestins de son élève, il se retire rapidement, puis prenant un olisbos assez gros dans la boîte que Maud a apportée, il l'enfonce promptement dans le goulet encore grand ouvert de l'enculée. Celle-ci pousse un cri sous la poussée de lengin qui sest fiché dans son derrière, mais Paul la rassure.
Ma chérie, ne crains rien, ce n'est qu'un godemiché. Il faut que ton rectum soit bien élargi pour que la queue conséquente de notre ami Jacques puisse t'enculer sans te déchirer. Il faut que ton sphincter reste bien ouvert pour pouvoir l'accepter tout à l'heure.
Sandy, bien qu'un peu plus tôt, se soit elle-même proposée pour se faire sodomiser par leur hôte, est à présent terrorisée à l'idée que la monstrueuse verge puisse la pénétrer dans son derrière, qui vient tout juste d'être dépucelé.
Oh ! Mon chéri, je ne savais pas tout à l'heure que cela faisait si mal.
Mais Paul ne tient pas compte de ses protestations, il prend les lanières en cuir qui sont attachées aux anneaux de l'anus-picket, il les passe comme un porte-jarretelles autour des cuisses de Sandy, puis il ceint une grosse ceinture en cuir autour de la taille de la donzelle. Ainsi harnachée, les lanières entrant profondément entre sa raie culière et même à l'intérieur de sa vulve, le pénis artificiel est inexorablement fixé à son postérieur. Puis il la console en l'embrassant tout en l'assurant que tout se passera bien. D'ailleurs lui dit-il, ce n'est pas pour tout de suite, il leur faut rejoindre leurs hôtes pour déjeuner tranquillement. Pour l'instant qu'elle se rassure, l'olisbos qui est dans son cul facilitera grandement sa sodomisation prochaine.
Après s'être préparé et avoir fait sa toilette, le couple rejoint Jacques et Corinne qui les attendent dans l'immense pièce du rez-de-chaussée. Ils s'embrassent tous les quatre affectueusement pendant que les mains des hommes pelotent un brin et sans vergogne les femmes qui se laissent faire ravies. Une fois l'apéritif bu, et le repas achevé, arrosé d'un champagne rosé, les joues des convives sont légèrement colorées et la conversation sanime. Paul décrit en détail la façon dont Sandy s'est fait dépuceler son anus. Celle-ci devient cramoisie, mais elle est encore plus consternée quand Paul rapporte ses propos sur ce qu'elle souhaite que les deux hommes lui fassent, et surtout sur son désir d'être enculée par Jacques.
Ce dernier entend profiter immédiatement des bonnes dispositions que Sandy a envers lui. Elle a beau se débattre et protester quelle ne se sent pas encore prête, elle se retrouve très vite déshabillée par les deux hommes qui lont empoignée et étendu sur la table de billard. Lorsque le godemiché qui est enfoncé depuis plus de deux heures dans son rectum est retiré, un cratère béant apparaît sous leurs yeux ébahis.
- Oui, mon chéri, continue. Oh ! Comme j'aime ça. Ne t'arrête pas, viens dans moi, encore, encore. Oh ! Que c'est bon d'être enculé. Allez pousse, va au fond, je veux ta queue, encore, encore. Oh ! Mon dieu, je suis une dépravée, mais comme c'est bon. Oui !... Ah ! Oui ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......!
Mais Paul ne peut tenir très longtemps la cadence, aussi, il se vide dans la matrice qu'il a si bien préparée, ne pouvant retenir son foutre que son conduit urétral projette au bout de son gland. Pourtant, Sandy en réclame encore, agitant ses jambes et projetant son cul en avant à la recherche de la tige qui se retire progressivement, tandis quelle se recroqueville et devient flasque. Sans perdre de temps, Paul se dégage rapidement, laissant sa place à Jacques qui attend son tour tranquillement, en se faisant sucer par sa femme. Le pénis monstrueux se présente donc devant le cratère qu'offre le cul grand ouvert de Sandy, s'y engouffrant brutalement, labourant les chairs distendues de la croupe de la jeune femme, creusant le conduit qui se distend sous la poussée impitoyable du pieu rigide de l'homme.
Sandy essaie de se dégager de ce mandrin qui s'approprie l'exiguïté de son postérieur, mais Paul et Corinne l'attnt par les bras et les cuisses, et la maintiennent fermement pendant que Jacques ébranle avec vigueur ce cul qu'il convoite avec avidité depuis la veille. Il fourrage, furète, troue, défonce, transperce, farfouille, dans ce popotin encore si fragile et si frêle.
Sandy hurle de douleur encore une fois, mais elle prend aussi un pied terrible à se faire violer par ce membre qu'elle espérait, tout en le craignant, et qui la fait jouir frénétiquement.
- Oh ! Oui Jacques, pousse, défonce-moi, je te veux dans mon cul, va doucement, tu vas me transpercer. Oh ! Que ta queue est grosse, mais qu'elle est bonne, je ne sais plus ce que je dis, j'ai honte, Oh ! Oui continue, arrête...., arrête..., non, encule-moi, j'aime ça, même si je dois en mourir, continue, arrête, non encore. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.......! Continue, mon Jacques, comme ça ! Oui ! Oh que c'est bon ! C'est bon ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii........ Oh ! Que tu me fais mal, ça me brûle, va doucement, tu vas trop fort, je vais être déchirée, Mon Dieu ayez pitié de moi ! Non arrête, tu me transperces. Oh ! Oooooooh oui, non, continue, Oh! Maman ! Je vais mourir. Non ! Non !, j'ai trop mal, mais viens, viens, Aaarrrrrrrr...... Ah ! Oui ! Ah ! Nonnnnn ! Ah ! Ouiiiii ! Ah ! Non ! Oui ! Oui ! Non ! Non ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
Il faut toute la vigueur de Paul, de Corinne, et de Maud qui est venue à la rescousse, pour maintenir Sandy qui projette ses membres dans tous les sens. Son plaisir étant porté à son paroxysme par la puissance avec laquelle Jacques l'encule, accentuant la jouissance véhémente qu'elle en éprouve. Ils n'ont jamais vu une femelle s'exalter avec une telle violence, il faut croire qu'il y avait longtemps qu'elle attendait sans le savoir ce moment, car exténuée par la trop forte émotion qu'elle ressent, Sandy s'évanouit soudain, ses nerfs ayant brusquement lâché. Ils la transportent aussitôt sur un sofa pendant que Maud essuie avec des serviettes la sueur qui recouvre le corps encore agité de soubresauts, puis, elle la couvre pour qu'elle ne prenne pas froid tout en la caressant pour qu'elle se réveille en confiance.
Le quatuor récupère lentement, lorsque Jacques propose soudain à son ami de prendre Corinne en sandwich. Celle-ci se montre aussitôt d'accord, émoustillée par la prestation étonnante de Sandy. Ils tirent au sort celui qui enculera la plantureuse blonde. Cela tombant sur Paul, Jacques beau joueur s'étend sur le canapé pendant que son épouse l'enjambe et vient s'empaler sur sa verge qui est toujours en érection, car il n'a pas éjaculé dans le cul de Sandy.
- Oh ! Oui, je jouis, continuez mes chéris, je vous en prie n'arrêtez pas, Oh ! mh, mhhh, mhhh, oui, encore entrez tous les deux dans moi, fort, encore. Oh ! C'est tellement bon, oui, oui, oui, encore, encore, encore, je n'en peux plus, mais continuez mes chéris. Oh ! Mes amours, vous me comblez Ah ! Aaaaahh !.... Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaaaaaaaahhhh.............
Sandy qui se fait gamahucher par la petite Maud depuis déjà un certain temps, observe avec un grand intérêt la double pénétration à laquelle se prête avec une grande complaisance l'opulente Corinne. Elle aussi ne peut sempêcher davoir une envie impérative et bestiale d'être prise par ses deux cavités. Lorsque les deux hommes déchargent dans la voluptueuse blonde, elle se surprend à les implorer.
- Paul, Jacques, lorsque vous aurez récupéré, je suis prête à vous recevoir tous les deux, je n'ai plus peur et j'ai une grande envie de vos deux queues, et toi Corinne, tu pourras venir aussi que je te bouffe ta chatte. Oh ! Je jouis, continue Maud, tu me suces tellement bien. Je suis devenue une vraie putain mes amours, mais je veux que l'on me baise encore et qu'on m'encule, il y a trop d'années perdues dans ma vie. Oh ! Venez vite dans moi, je vous veux tous.
Corinne rejoint bientôt Maud pour préparer leur compagne à ce qu'elle va devoir subir, car deux verges à la fois pour une première expérience, cela peut faire des ravages, et puis, il faut que les hommes soient de nouveau en érection et cela va leur demander un petit moment, surtout pour Paul.
En fait, lorsque Jacques se sent prêt, il vient charitablement se placer sur le divan pour recevoir le vagin de Sandy, afin de ne pas lui défoncer encore son cul comme tout à l'heure. La jeune femme l'enjambe aussitôt, venant d'elle-même s'empaler sur la grosse verge qui tout à l'heure a écartelé son orifice anal, Sandy s'enfonce avec délices sur la hampe qui n'en finit pas de prendre de l'ampleur dans le fourreau de sa vulve. Paul nétant pas encore en état de venir l'enculer, Corinne, chevauchant la poitrine de son mari, se renverse sur son torse, offrant ainsi sa moule grande ouverte à la bouche de Sandy qui fourre sa langue dans le vagin dégoulinant de foutre et de mouille. Mais bientôt, son premier éducateur écarte les fesses de sa disciple, entrant sans aucune difficulté sa pine dans la croupe préparée par Maud. Il se loge assez facilement dans la gaine rectale en frottant son membre contre celui de Jacques, qui est seulement séparé par la mince cloison séparant les deux conduits. Sandy est comme dans un état second, flottant dans un délire divin, surtout lorsque les deux queues se meuvent à tour de rôle dans son vagin et dans son anus.
- Oh ! Mes amours, jamais, je n'aurais cru cela possible. Oui remplissez-moi bien. C'est extraordinaire, je sens vos sexes palpiter et glisser en moi, quel délice. Ah ! Je jouis. Oui ! Ouiiiiiiiii...... Continuez mes chéris. Oh ! Comme c'est bon, encore, encore......
-
- Oh ! Oui, baisez-moi, enculez-moi, je vous aime tous. Oh ! Que c'est bon, encore, encore, n'arrêtez jamais, jamais. Oh ! Mon Dieu, je jouis, continuez, je vous en prie n'arrêtez pas, Oh ! mh, mhhh, mhhh, oui, encore entrez tous les deux dans moi, fort, encore. Vos bites, vos bites. Oh ! C'est tellement bon, oui, oui, Ah ! Oui comme ça. Ah ! Ah !.... Ahhhhrrrrrrrrrrr...... Oh ! Oh ! Oui ! Oui ! Oui ! Ahhhhrrrrrrrrrrr...... Ahhhhrrrrrrrrrrr...... Ahhhhrrrrrrrrrrr......
Le combat s'arrêta faute de combattant. Il fallut toute la persuasion de Paul pour décider Sandy à quitter leurs , car elle voulait faire encore l'amour, encore et encore, toujours. Paul avait vraiment peur que la pauvre jeune femme ne soit devenue folle, ou tout du moins qu'elle ait disjoncté. Mais une fois à l'hôtel, après un bon bain et une crise de larmes, elle s'endormit, épuisée par la tension qu'elle venait de subir durant de si longues heures.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!